Nos abeilles se meurent et leur disparition est une menace pour nous” titre les Nations Unies. Plus de pollinisateurs, plus de plantes, plus de quoi se nourrir… plus de quoi se nourrir ! Dans le viseur, les pesticides bien sûr. On peut parler longtemps de tout ce qui fait mal aux insectes, mais concrètement, quelle action politique pouvons-nous mener pour les faire revenir ? Quand agiter nos pancartes devant le ministère de l’agriculture ne suffit plus, que peut-on faire à notre échelle ? Comment peut-on faire revenir nos abeilles ? Faut-il construire des hôtels à insectes partout et on en parle plus ? Quelles difficultés ? Qu’est-ce qui est le plus efficace ?

Peut-on réellement recréer une société dans laquelle on trouve des produits pour se nourrir à 100kms à la ronde ? De quels produits parle-t-on ? Est-il possible de manger ce qui ne pousse pas naturellement autour de nous ? Faut-il recréer tous les produits que l’on consomme aujourd’hui ? ?ous sommes de plus en plus nombreux-euses à nous tourner vers une alimentation locale. Mais généralement, nous trouvons surtout les produits frais, issus des animaux ou quelques produits secs. Mais le reste alors ? Les céréals ? Le riz ? Le chocolat et ses amis ? Concrètement, quand on vit en Centre-Val de Loire que peut-on réellement manger de local, à quelle échelle et à quel coût ?